Association pour la sauvegarde d'Echallens | ASE

La crise sanitaire a au moins eu cela de bon qu'elle a fait réfléchir des Challensois : quel est l'avantage de voir Echallens devenir le grand centre régional annoncé? Faut-il vraiment poursuivre des projets pharaoniques qui, comme chacun le sait, se feront aux dépends et aux frais des contribuables?
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Les étangs du Larrit ont été « renaturés ». Si l’abattage de nombreux arbres a créé l’émoi, le résultat semble prometteur. Historiquement, ce lieu a une valeur affective et écologique pour les habitants d’Echallens, qui y ont tout aussi bien patiné que flirté.
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Après trois demi-journées d’ateliers participatifs, nos Autorités et leurs mandataires vont se retrouver entre eux pour concocter le nouveau Plan directeur communal. Et en attendant, que font les Challensois ? Ils attendent passivement qu’on redessine le visage de leur ville ?   
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Vous êtes nombreux à vous opposer au projet de la zone industrielle du Grésaley et à celui de l’écoquartier du Crépon. Et en plus de celles regroupées sous la bannière de l’ASE, d’autres oppositions ont été envoyées à la Municipalité.
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Nous sommes tous censés recevoir l’annonce de la création de l’écoquartier du Crépon avec des cris d’allégresse. Mais comment Echallens va-t-elle accueillir 900 habitants de plus, avec leurs voitures, leurs besoins ? En attendant des réponses précises, nous nous opposons à la construction du nouveau quartier. 
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Le projet mis à l’enquête aujourd’hui, comme celui de l’entreprise Weinmann hier, va à l’encontre du développement futur d’Echallens : il ne respecte ni la mobilité douce, ni le bien-être des habitants, ni l’environnement. 
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Des poids-lourds sur le chemin des écoliers, un accès mal sécurisé à l’arrêt du LEB, une route cantonale saturée, une mobilité douce compromise, des arbres menacés et des riverains en colère… Il manque une réflexion globale et une vision urbanistique à long termes pour ce quartier à la fois résidentiel et scolaire.
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Outre l’entreprise Trans-EcoBroyage, deux autres sociétés ont prévu d’installer leur atelier technique dans les halles artisanales mises à l’enquête au Grésaley. La première est spécialisée dans l’entretien et la location de machines pour espaces verts et de chantier, l’autre dans le montage électrique de véhicules. Toutes deux se veulent rassurantes sur les impacts de leurs activités dans le quartier.
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