Pourquoi sauvegarder Echallens?

Légende de la pho­to: Dans la Grand-Rue, il y a très sou­vent plus de voitures que de piétons.

Au fil des ans, des généra­tions et des munic­i­pal­ités, Echal­lens n’a cessé d’évoluer. Par­fois lente­ment, par­fois plus rapi­de­ment. Aujourd’hui, ce n’est plus un vil­lage mais bel et bien une petite ville.

La volon­té de l’Association pour la Sauve­g­arde d’Echallens n’est pas de retourn­er dans le passé ou de figer l’évolution de la région. Nous ne voulons pas met­tre Echal­lens sous une cloche de verre, nous aimons notre ville vivante, ancrée dans le présent et se pré­parant pour le futur.

Nous ne voulons pas met­tre Echal­lens sous une cloche de verre, nous aimons notre ville vivante, ancrée dans le présent et se pré­parant pour le futur.

Mais, ces dernières années,  l’évolution d’Echallens se fait de manière plutôt anar­chique. Les pro­mo­teurs y con­stru­isent à tour de bras des immeubles dont le prin­ci­pal intérêt est économique. Les per­mis de con­stru­ire sont accordés sans trop exam­in­er les détails. Il y a comme une frénésie de den­si­fi­ca­tion. Vite, plus d’habitants! Avec la pop­u­la­tion, le nom­bre de voitures aug­mente aus­si et Echal­lens peut mal­heureuse­ment se van­ter d’être une «vraie» ville, avec des bou­chons routiers aux heures de pointe.

Nous, nous adhérons à la devise d’Echallens : «Un accueil et un art de vivre». Sauf que pour bien accueil­lir les gens, y com­pris les nou­veaux habi­tants, il faut leur offrir autre chose que des files de voitures roulant au pas et des con­struc­tions anar­chiques. Et pour dévelop­per un art de vivre, il faut respecter l’environnement des Chal­len­sois­es et des Challensois.

C’est ce que nous voulons sauve­g­arder: un envi­ron­nement agréable pour cha­cun et une cul­ture par­ti­c­ulière, celle du chef-lieu du Gros-de-Vaud. Une cul­ture faite de tra­di­tions paysannes et de modernité.

Association pour la sauvegarde d'Echallens | ASE
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