Légende de la photo: Dans la Grand-Rue, il y a très souvent plus de voitures que de piétons.
Au fil des ans, des générations et des municipalités, Echallens n’a cessé d’évoluer. Parfois lentement, parfois plus rapidement. Aujourd’hui, ce n’est plus un village mais bel et bien une petite ville.
La volonté de l’Association pour la Sauvegarde d’Echallens n’est pas de retourner dans le passé ou de figer l’évolution de la région. Nous ne voulons pas mettre Echallens sous une cloche de verre, nous aimons notre ville vivante, ancrée dans le présent et se préparant pour le futur.
Nous ne voulons pas mettre Echallens sous une cloche de verre, nous aimons notre ville vivante, ancrée dans le présent et se préparant pour le futur.
Mais, ces dernières années, l’évolution d’Echallens se fait de manière plutôt anarchique. Les promoteurs y construisent à tour de bras des immeubles dont le principal intérêt est économique. Les permis de construire sont accordés sans trop examiner les détails. Il y a comme une frénésie de densification. Vite, plus d’habitants! Avec la population, le nombre de voitures augmente aussi et Echallens peut malheureusement se vanter d’être une «vraie» ville, avec des bouchons routiers aux heures de pointe.
Nous, nous adhérons à la devise d’Echallens : «Un accueil et un art de vivre». Sauf que pour bien accueillir les gens, y compris les nouveaux habitants, il faut leur offrir autre chose que des files de voitures roulant au pas et des constructions anarchiques. Et pour développer un art de vivre, il faut respecter l’environnement des Challensoises et des Challensois.
C’est ce que nous voulons sauvegarder: un environnement agréable pour chacun et une culture particulière, celle du chef-lieu du Gros-de-Vaud. Une culture faite de traditions paysannes et de modernité.
Posted: 20 septembre 2018 by ASE
Pourquoi sauvegarder Echallens?
Légende de la photo: Dans la Grand-Rue, il y a très souvent plus de voitures que de piétons.
Au fil des ans, des générations et des municipalités, Echallens n’a cessé d’évoluer. Parfois lentement, parfois plus rapidement. Aujourd’hui, ce n’est plus un village mais bel et bien une petite ville.
La volonté de l’Association pour la Sauvegarde d’Echallens n’est pas de retourner dans le passé ou de figer l’évolution de la région. Nous ne voulons pas mettre Echallens sous une cloche de verre, nous aimons notre ville vivante, ancrée dans le présent et se préparant pour le futur.
Mais, ces dernières années, l’évolution d’Echallens se fait de manière plutôt anarchique. Les promoteurs y construisent à tour de bras des immeubles dont le principal intérêt est économique. Les permis de construire sont accordés sans trop examiner les détails. Il y a comme une frénésie de densification. Vite, plus d’habitants! Avec la population, le nombre de voitures augmente aussi et Echallens peut malheureusement se vanter d’être une «vraie» ville, avec des bouchons routiers aux heures de pointe.
Nous, nous adhérons à la devise d’Echallens : «Un accueil et un art de vivre». Sauf que pour bien accueillir les gens, y compris les nouveaux habitants, il faut leur offrir autre chose que des files de voitures roulant au pas et des constructions anarchiques. Et pour développer un art de vivre, il faut respecter l’environnement des Challensoises et des Challensois.
C’est ce que nous voulons sauvegarder: un environnement agréable pour chacun et une culture particulière, celle du chef-lieu du Gros-de-Vaud. Une culture faite de traditions paysannes et de modernité.
Category: L'actu
Rubriques
L’actu
L’enfer du décor